The effect of different cold period during maternal incubation on incubation efficiency and hatching term in Austropotamobius pallipes

L’effet de différentes périodes froides pendant l’incubation maternelle sur l’efficacité de l’incubation et la date d’éclosion chez Austropotamobius pallipes

⁽¹⁾ University of South Bohemia in Ceské Budejovice, Faculty of Fisheries and Protection of Waters, Research Institute of Fish Culture and Hydrobiology, Zatisi 728/II., 389 25 Vodnany, Czech Republic
policar@vurh.jcu.cz
⁽²⁾ Moneycarragh Fish Farm, 60 Dromara Rd, Dundrum, Newcastle, County Down, BT33 0NS, Northern Ireland
⁽³⁾ Cross-Border Aquaculture Initiative EEIG, 14-15 Grays Lane, Park St. Dundalk, Co. Louth, Republic of Ireland

Received: 29 September 2009
Revised: 23 November 2009
Accepted: 24 November 2009

Abstract

This study tested the effect on the incubation efficiency (E in %) and hatching term during maternal incubation of Austropotamobius pallipes of five different cold periods (duration: 45, 60, 75, 90 and 105 days) under controlled conditions and one group maintained under ambient Irish water temperatures. The six different durations of cold period, used in this study, caused six different terms of hatching from 16 March to 29 June. When compared to the group held under ambient Irish conditions with fluctuating water temperatures during the incubation period (E = 29.9 ± 4.5%), higher incubation efficiency was found in all groups under the controlled conditions (E = 73.1 ± 4.7% − 41.3 ± 2.7%). In groups under controlled conditions, a positive effect of shortened cold period on incubation efficiency was found, with the highest efficiency (E = 73.1 ± 4.7% − 68.8 ± 5.2%) found after the shortest cold period, while the longest cold period led to the lowest efficiency (E = 41.3 ± 2.7%).

Résumé

Cette étude a testé l’effet, sur l’efficacité d’incubation (E en %) et la date d’éclosion pendant l’incubation maternelle chez Austropotamobius pallipes, de cinq périodes de froid différentes (durées : 45, 60, 75, 90 et 105 jours) en conditions contrôlées comparées à un groupe maintenu à température ambiante des eaux irlandaises. Les six différentes périodes froides, utilisées dans cette étude, conduisent à six dates d’éclosion du 16 mars au 29 juin. Quand on compare au groupe maintenu sous conditions ambiantes irlandaises comportant des variations de température pendant l’incubation (E = 29,9 ± 4,5%), une meilleure efficacité d’incubation a été trouvée pour tous les groupes en conditions contrôlées (E = 73,1 ± 4,7% − 41,3 ± 2,7%). Dans les groupes en conditions contrôlées, un effet positif des courtes périodes froides sur l’efficacité d’incubation a été trouvé, avec la plus forte efficacité (E = 73,1 ± 4,7% − 68, 8 ± 5, 2) trouvée après la période froide la plus courte, alors que l’efficacité est la plus faible (E = 41,3 ± 2,7%) pour la période froide la plus longue.